₪ VOTRE PERSONNAGE ₪
Nom : Hatari
Prononciation et signification : [HA-TA-RI] signifie "péril" en swahili
Race : Lion du Désert
Origine : 100% jangowas
Âge : 2 ans et 2 mois
Clan : Jangowas #F8F8B5Rang : Exilé
Alignement : Loyal envers lui même et sa famille
Image de référence :Image
Hatari
₪ SON HISTOIRE ₪
Famille : Ilanga (mère, vivante)
Kubwa (père, vivant)
Sakhar (frère jumeau, vivant)
Physique & Caractère : Hatari est un jeune lion du Désert, semblable à ses congénères il n’est jamais vraiment sorti de la masse, bien qu’à sa naissance il fut (malheureusement) remarqué comme le moins bien portant des deux lionceaux. Il ne fut rien de plus au long de son enfance qu’un jeune jangowa banal, un peu chétif et calme.
Bien qu’il n’ait aujourd’hui, à plus de deux ans, pas rattrapé le gabarit un peu plus imposant de son frère, il n’en s’est pourtant pas laissé distancer ni marcher dessus. L’éducation stricte de son père ponctuée de ses encouragements a su forger le caractère du lionceau un peu sensible.
Son corps possède une fine musculature et un léger pelage couleur sable, un peu terne, adapté à son environnement. Si certains lions ne sont dotés d’aucune crinière, la sienne est peu épaisse mais malgré tout présente. D’une couleur ocre, plus sombre que le reste de son poil, elle se contente de descendre le long de sa nuque pour rejoindre le milieu de son dos. Si presque l’ensemble de son poil est court, les crins au bout de ses oreilles, ou à ses pattes font exception, de même pour la courte bande de poils sombres sur son torse. Tout cet ensemble donne au jeune lion, malgré lui, un aspect légèrement en broussaille et négligé, similaire à celui de son père, s’accentuant d’ailleurs peu à peu depuis le début de son exil.
De son menton à l’intérieur de ses pattes arrière s’étend un poil très clair, se frayant chemin sur tout son ventre et son torse. Couleur présente même à chaque doigt de pattes avant et s’étendant plus loin sur ses pattes arrières. Ses yeux, verts, eux non plus ne font pas l’originalité du lion mais les ayant hérité de sa douce mère, il n’en est pas peu fier.
Persévérant et buté, le jeune lion ne manque aujourd’hui pas de confiance en lui, surtout depuis son départ. La coquille qu’Hatari a su se forger ne laisse apparaitre qu’un lion un peu désagréable et aux airs méfiants en particulier avec les étrangers, ou ceux qu’il ne connaît que peu bien.
C’est auprès de son père et de sa mère qu’il semble le plus à l’aise et détendu, et bien qu’il ne soit pas proche de son frère pourtant du même âge, il ne peut s’empêcher d’approuver de l’affection pour ce lion qui le connaît par coeur.
Réfléchi, il sait parfois mieux se servir de sa tête que de ses pattes (bien qu’il reste bon chasseur et qu’il sache se défendre) mais cela ne l’a pas empêché de développer une certaine impulsivité à travers l’éducation de son père le poussant à ne pas se laisser faire. Ainsi, si Hatari n’a pas sa langue dans sa poche même avec son propre parent, cela tend peut-être à le rendre un peu trop insolent ou indiscipliné aux yeux de ses paires.
Malgré son caractère plutôt pénible, au fond, ce lion ne manque tout de même pas de coeur envers qui saura le pousser à s’ouvrir, et à dépasser ses nombreux défauts. Sa sensibilité, bien qu’enfouie, n’a jamais vraiment disparu, et lui même ne sait à quel point son exil pourrait le pousser dans ses retranchements.
Histoire : Hatari et son frère, Sakhar, naquirent auprès des lions du Désert au moment où le roi de Prideland et ses sujets célébraient la naissance de sa première portée. Des deux, il était le plus chétif, le plus petit.. Tout cela laissant à ses parents la possibilités de le délaisser pour concentrer une éducation prometteuse à son jumeau uniquement.
Béni par la bonté de ses parents, jamais ceux-ci ne le laissèrent sur le côté. Désireux de plus de lui forger au contraire un caractère d’acier, son père mit toute son énergie à éduquer l’un comme l’autre les deux lionceaux. Le Grand Désert ne leur ferait pas de cadeau, et il voulait les savoir prêts ; voilà ce que Kubwa ne cessait de leur répéter.
Même s’il n’était pas aussi imposant que son frère, Hatari avait des points forts : une certaine agilité et rapidité, et réflexion.. Nul ne servait de n’en faire qu’à sa tête, il lui fallait aussi se montrer futé. Avant son départ pour l’exil, il était devenu une forte tête un peu imprévisible bien que souvent silencieux, soucieux de nombre de choses relatives à leur exil à venir dans le désert.
Peu de bavardages politiques se faisaient entendre dans la famille, les parents du lion ne semblaient jamais avoir un avis. Il ne le mentionnait pas, se contentant de faire ce qu’ils avaient à faire, leur devoir auprès du clan était respecté et cela semblait être le principal. Si l’Empereur ou quelconque autorité avait décidé que, ils ne se positionnaient jamais pour ou contre, il en était tout simplement ainsi de leur vie à tous.
La méfiance envers les étrangers était malgré tout présente, surtout pour le jeune lion qui les considéraient jusqu’alors comme la peste, n’en ayant encore jamais rencontré. Alors qu’il n’avait qu’un an, passé de quelques mois, le jeune eut ouïe dire d’une intrusion et les rumeurs couraient dans le clan. Quand le lion se surprenait à y penser, il espérait que ses paires s’était montré comme de dignes défenseurs du Grand Désert.
Hatari n’aspira toujours qu’à son bien être et à celui de sa famille, et ne portait ainsi pas de loyauté particulière envers l’Empereur. Ses parents se turent d’ailleurs toujours au sujet de l’Empereur actuel comme du précédent, le père répondant, quand son fils se montrait trop insistant, que ce qui était important était son entraînement s’il voulait survivre et rien d’autre. Ainsi, sa survie, celle de sa famille et de la tribu était tout ce qui pouvait intéresser Hatari, qui ne prenait que rarement part à quelconques débats politiques.
Durement entrainé aux côtés de son frère, à leur départ, Hatari se jura à lui même qu’il n’aurait besoin de l’aide de quiconque, et pas même celle de son frère. Il préférait encore se voir mourir, car si l’issue était telle, c’est que le Grand Désert l’avait voulu.
Les deux premiers mois furent rudes, bien plus qu’il n’avait pu tenter de s’y préparer, aussi bien physiquement que mentalement. Si ses côtes commençait à saillir et qu’il semblait plus négligé qu’il ne l’avait toujours été, le moral n’en avait toujours pas pris un coup. Le lion se nourrissait tant bien que mal, déterminé à rentrer auprès de sa mère et de son père. « Je serai.. pardon, nous serons très vite de retour près de toi, c’est promis. » , tel furent les derniers mots qu’il adressa à Ilanga et qu’il ne cessait de se répéter pour combler la solitude de sa vie dans le désert qui était loin de lui avoir encore livré tous ses secrets.
Autre : //
₪ DERRIÈRE L’ÉCRAN ... ₪
N’hésitez pas à vous présenter !
Pseudo : oovadoz mais Hatari pour ici c'est très bien
Âge : 19
Comment avez-vous connu le forum ? : ouh c'était à l'époque, sur un topsite je pense
Est-ce votre premier forum rpg ? le premier pour reprendre après plusieurs années !
Avez-vous lu le Règlement ? :