Remember who you are

Il m'a libéré de mes chaines, mon cauchemar à pris fin, me voici face à mon destin.

Les douces lueur des rayons du soleil caressait la lande des sans-terres. Je sentait la chaleur de l'aube sur mon doux pelage et le chant des oiseaux dans les branches du baobab. Un matin si agréable... si, seulement mon horrible mère adoptive ne m'avait pas réveiller brutalement.
Akira: Lève toi! Tout de suite! et tache de ne pas trainer.
Son ton était grave et froid, comme d'habitude aucun "bonjour" ou un mot chaleureux, comme font les mères des autres lionceaux. Orphelin, à 3 mois je n'avais eu guère de chance jusque là, seulement la chance d'avoir survécu à tant d'épreuves. Je me leva avec peine, j'avais peu dormi, la nuit avait sembler tellement courte. En effet, hier, j'était partit prendre l'air, au loin dans la vallée abandonné et j'avais rencontré Wema ma meilleur amie et Matumani un parfait inconnu. Et quand je put enfin dormir au baobab, les cauchemars de la mort de mes parents et le massacre de mon frère jumeaux, me laissèrent éveillé un long moment.
Akira: Nous devons reprendre notre entrainement! dépêche toi! bientôt nous attaquerons les pridelanders...
Sa voie grave fini cet fois avec un petit ricanement effrayant. Je la regarda dépité, je savais ce qu'elle voulait faire de moi, un petit soldat pour l'aider à se venger et que si elle ne réussissait pas à faire de moi ce qu'elle voulait, elle me tuerais sans hésitation.
Je décida donc de me rappeler, qu'elle avait été une mère adoptive indigne pour faire ressortir la colère et je lui sauta dessus toute griffes sortis. Mais en un coup, elle me renvoya puissamment au sol.
Je me releva au plus vite. Durant, ce cours instant de répits, j'eu un gout amer dans la bouche. Cette amertume qui coulait tel un venin se répandant dans ma chair; c'était de la haine. Ses yeux me fixait, je me croyait face à un serpent car elle était tout aussi fourbe et son regard à glacé le sang, me fixait à chaque mouvement.
J'attaqua, une seconde fois, du moins j'essaya... mais le contre coup fut terrible.
Elle avait lacérés mes cotes, me donnant un coup violent dessus et je tomba à la renverse.
J'avait mal... j'avais l'impression que l'on me déchirait les entrailles. Son regard mécontent me fis comprendre, qu'elle était furieuse.
Akira: bon à rien! on avait répété tant de fois les mêmes mouvement, tu est désespérant. Tu va comprendre ta douleur!
A ce moment là, je su que c'était la fin. La fin de l'entrainement et de ma vie, je ne pouvais lutter contre elle. Je me baissa signe de soumission, et ferma les yeux. Je ne bougeais plus et ne sentais plus que les innombrables douleurs, martelés mon frêle corps.
"Adieu Wema, Adabu, Tahora... vous êtes les seuls lions qui me maintenais en vie jusqu'à présent. J'ai eu la chance de vous rencontrer... Vous allez me manquer, je ne vous oublierais jamais..." dit-je dans ma tête.
Mais soudainement, les douleurs s'arrêtèrent et un magnifique rugissement atteignit mes oreilles endoloris. Je rouvrit les yeux, la lumière m'aveugla et je vit là un lion impressionnant. Les rayons du soleil éclairèrent sa majestueuse crinière et son pelage orangé. J'avais déjà vu ce lion quelque part. Ah oui! Quand j'avais crus voir un fantôme, dans la vallée abandonné; c'était Kumpa le roi de prideland. Mais, que faisait le prince ici? Mon horrible mère montrait ses crocs d'ivoire et grognait. Ses yeux illuminaient sa fureur et sa folie.
Akira:Dégage, sale pridelander! Ne te mêle pas de ça!
Son regard méprisant ne lachait pas une seconde Kumpa.
Akira: Tu est comme ta mère un parasite, elle m'a exilé et tu va le payer pour elle!
Elle fonda droit sur lui, les griffes sortis tel un aigle chassant une proie. Elle le mordit à la nuque pour essayer de le tuer.
Sangha: Non... Kum..Kumpa enfuis-toi! elle va te tuer...j'en vaut pas la peine.
Blessé, je n'arrivais pas à bouger, je ne pouvais qu'assister au combat.
Puis, j'entendais ma mère se battre avec feu et rugir des jurons.

Je vais te tuer!

Remember who you are

Il m'a libéré de mes chaines, mon cauchemar à pris fin, me voici face à mon destin.

Kumpa: Votre fils est blessé !
Kumpa la tenait à terre mais elle se débattait comme un beau diable. Elle le mordait avec acharnement. Le prince n'arrêtait pas de la repousser mais peine perdu, elle revenait le mordre.
La lionne avait soif de ce battre avec la famille royale de prideland depuis son exile et pour la raisonner sa serait chose impossible. J'était sur que même si elle voulait répondre à Kumpa, elle aurait dit que j'était sans importance. Akira donna un grand coup de patte dans le visage du prince, Kumpa faillit tomber. Je retient mon souffle, la tension était à son comble. Elle s'apprêtai à lui sauter dessus, pour le mordre mais Kumpa l'évita de justesse. Et celle-ci, fonça droit sur le rocher qui était derrière Kumpa, se cognant la tête dessus. Elle tomba inerte. Je ne comprenais pas tout de suite ce qui c'était passé. Mes pattes frêles tremblaient, je me releva dans une puissante douleur. Je marcha tout doucement vers elle, son visage montrait encore sa fureur mais elle ne bougeais plus. C'est là que je compris...
Sangha: elle est... morte...
J'était sous le choc, ma mère qui semblait tellement forte, jamais je ne l'aurais crus un jour morte. A l'évidence, elle avait eut ce qu'elle méritait mais je ne lui aurais jamais souhaité la mort. Soudain, je me sentit comme sur un nuage comme si les douleurs avaient disparus.
Comme si le monde, c'était retourné à l'envers, c'était le parfum exquis de la liberté. Je sortit de mes pensés, je vit la lueur de culpabilité que je crut lire sur le visage de Kumpa.
Sangha: je comprend que ce n'était qu'un accident... Je me retourna vers lui, le regard empli de gratitude.
Sangha: merci. Merci de m'avoir défendu. Je serait peut être mort à l'heure qu'il est si il n'était pas intervenu. Un profond respect naissais en moi, alors pour le lion orangé.


[HRP: j'ai écourté le combat Kumpa/Akira pour qu'on passe plus de temps sur la discussion entre Sangha et Kumpa]

Remember who you are

Il m'a libéré de mes chaines, mon cauchemar à pris fin, me voici face à mon destin.

Mon regard était livide, une expression de vide m'envahissait, sans tellement paraître j'était choqué. Je ne pouvais imaginer que la mère forte et imbattable que j'avait toujours imaginé, soit morte d'un seul coup par un simple rocher. Et pourtant c'était la réalité, j'était peu expressif mais au fond de moi, je ressentait de la tristesse.
Kumpa avait l'air tout aussi troublé. Il se retourna soudainement vers moi.

Kumpa: Es-tu sûr que c'est ce que tu voulais ?

Ce que je voulais? bien sur que non... je ne voulais pas de ce qui était arrivée, n'y même de ce qui aurait put arrivée. Je voulais qu'elle retrouve sa santé mental et qu'elle m'aime comme une vrai mère et qu'elle pardonne aux pridelanders son exil. J'espérais tant qu'elle guérisse...

Sangha: non... je ne voulais rien de tout cela...

Soudain, je ressentit encore cette douleur aux cotes et à la tête. Je ne m'était pas aperçus mais je saignais encore. J'essayais de marcher mais, au lieu de sa j'avais l'air d'une vielle hyène boiteuse.

Kumpa: Attends, je vais te porter jusqu'à l'eau, on va se revigorer un peu.

Décidément, ce lion était quelqu'un de bien et tout bonnement un miracle. Je me laissa faire et il me pris par la peau du cou. Je ne savait pas ou il m'emmenais, mais je lui faisait totalement confiance. Je regarda autour de moi, il m'emmenait vers un fleuve, mais pourquoi? je n'en avait aucune idée. Jusqu'à ce qu'il me dépose sur la rive entre l'eau et la terre. Le sang était emporter par l'eau dans ses petites vaguelettes. Je resta couché et face à Kumpa.

Kumpa: Comment vas-tu ? Quel est ton nom ?

A c'est vrai! j'en avais oublié les bonnes manières, je ne m'était pas présenté. Ce qui est fort rare, mais contenu des circonstances passé, voilà qui était normal.

Sangha: pour le moment sa peut aller... Je m'appelle Sangha et je suis voyageur depuis mes 3 mois. Je me souvient de toi, c'est moi qui avait crut voir un fantôme dans la vallée abandonnée.ma voie était assez triste, le choc avait été plus dure que je ne l'aurais imaginer.

[ HRP: navrée du retard je suis déborder en ce moment x) ]

Remember who you are

Il m'a libéré de mes chaines, mon cauchemar à pris fin, me voici face à mon destin.

C'était glacé, froid mais je ne sentait plus la douleur, le courant de l'eau semblait l'emporter. Je ne savais pas si il se souvenait de moi, mais j'était sur que c'était bien le prince de prideland en personne.
Kumpa: Enchanté Sangha. Je me souviens de toi désormais. Je suis Kumpa, prince de Prideland.

Je sourit enfin j'essaya j'avais peut être l'air idiot, mais peu importe j'était content qui se rappelle de moi.
Kumpa: As-tu de la famille à qui te confier ? Tu ne tiendras pas longtemps dans cet état.

Famille... un mot qui n'était quasiment jamais employé dans mon vocabulaire. En vérité, je ne c'est pas ce que c'est une famille... je ne l'est vécu que 3 mois de mon existence, c'est pas assez pour ce souvenir.

Sangha: pas vraiment... toute ma famille est morte et maintenant que ma mère adoptive est morte aussi, je n'ais plus personne...

Il est vrai que je ne m'était pas poser la question mais, qu'est-ce que j'allais faire à présent? j'était seul.

Remember who you are

Il m'a libéré de mes chaines, mon cauchemar à pris fin, me voici face à mon destin.

Kumpa:Désolé de l'apprendre Sangha, mes condoléances. Ça n'a pas dû être facile tous les jours.
Effectivement, jusqu'à présent je ne vivait pas, je survivais. Je ne savais pas comment j'avais fait jusque là, mais j'y était arrivée. Mais peut être pas pour longtemps car si je restais seul à l'heure qu'il est il est probable que je finisse mort. Plein de question se mélangèrent dans ma tête et l'une des principales était: qui serait-je demain? Kumpa semblait lui aussi en train de chercher une solution.

Kumpa: Si tu n'as plus d'endroits où aller... Tu pourrais intégrer mon clan, les Pridelanders. Nous sommes une grande famille, et tu auras soins, nourriture et abri.

Les pridelanders... à ce moment là mes yeux brillèrent. Rejoindre le clan de mon sauveur serait un honneur. D'autant plus que cela m'assurait la vie sauf. Une vie dont j'avait rêver depuis tellement longtemps. Comment refuser?

Sangha: Je me demande si je ne suis pas en train de rêver. Sa serait génial si je pouvait réintégré mon clan natal. Mes parents sont morts de maladie à mes trois mois sur vos terres, depuis ce jour je n'ais vécu que voyageur. Oui, j'accepte d'intégrer ton clan et sa serait pour moi un honneur.


Mais vivre en clan je ne sais pas. J'ais toujours été très solitaire et reclus de tous, sa serait étrange de rejoindre d'autres lions.

Kumpa: Bien sûr, cela signifie que tu devras te plier aux règles de Prideland... Mais je peux t'en faire part plus tard, quand tu seras plus reposé

C'est comme si il lisait dans mes pensés, en même temps il n'était pas compliqué de voir que j'en savait rien. Je me releva doucement de l'eau, malgré ma démarche boiteuse, je ne sentait plus aucune douleur. Kumpa avait trouvé le remède efficace on dirait. Je m'asseya alors en face de lui.

Sangha: je ne sais rien de la vie de clan et de ses règles. Je veut bien que tu m'apprenne. Merci pour tout Kumpa, je suis fatigué il vaudrait mieux rentrée.

Sur ce je me leva la fatigue avait raison de moi. Je m'en alla en compagnie du prince vers le baobab et les autres lions se reposant au soleil. J'avais hâte de m'étaler sur le sol et de profiter de cette journée pour faire le point dans mon esprit.