Je m’étais levé tard, pour une fois… Ma mâchoire s’ouvrit en grand, dévoilant mes crocs, et je laissai échapper un énorme bâillement. Étonnant, car en réalité, je n’étais pas du tout fatigué, car depuis mon retour sur la Terre des Lions, j’ai eu bien le temps de me reposer. J’ai eu, plusieurs fois, la visite de Kina. Elle allait me voir souvent, comme elle me l’avait dit, et à chaque fois, je ne cessai d’être heureux. Cependant, ça faisait un petit moment que je ne l’avais pas revue… Et je commençais à m’inquiéter.

Le soleil levé depuis un moment, la routine s’installait. D'abord : manger. Dans la Lande, j’avais l’embarra du choix. Plusieurs petites proies grouillaient entre les quelques bouquets d’herbes sèches, et étant plutôt mauvais chasseur, sans l’aide de la nuit pour me camoufler et doubler mes chances de réussite, je m’en contenterai. C’était dans ces moments que je regrettais Kina… Mais il me suffisait de tourner la tête pour apercevoir mon prochain repas. Sans perdre de temps, je m’approchai des herbes sèches que j’avais vu bouger. Alors que je n’étais qu’à quelques mètres de ma cible, une antilope naine « Dik-Dik », s’élança à toute vitesse hors des herbes. Je me mis à lui courir après, aussi vite que possible, mais le soleil m’obligeait à ralentir. Haletant, je restai assis quelques instants, afin de reprendre mon souffle. Quelle honte ! Moi le grand costaud, n’a même pas réussi à attraper cet animal minuscule. Mais je suis chanceux : un autre animal passe à toute vitesse devant moi. Je lui cours après, et cette fois, gagné ! La bestiole est clouée au sol.

Je rapporte mon butin à « mon rocher », près duquel j’avais retrouvé Kina et qui me servait, pour l’instant, de repère. En un rien de temps, mon estomac était rempli. En effet, j’avais besoin de peu de nourriture pour être satisfait. Je commençais cependant à regretter de m’être levé si tard. La « chasse » (si l’on peut appeler ma « technique » ainsi) m’a épuisé, et le soleil est, semble-t-il, mon plus grand ennemi. J’aurai voulu pouvoir me reposer, mais il y avait un problème… Ici, il y avait peu d’ombre. Certes, derrière le rocher, il y en avait, mais pas assez. Deux options s’offraient à moi : faire tout de même la sieste derrière le rocher, bien que la fraîcheur n’était pas vraiment au rendez-vous, ou… Ou visiter les terres. Depuis mon retour, je n’avais eu le temps d’apprendre, de me renseigner sur la terre où je vivais désormais.

Mon choix était fait ! Je quittai donc le rocher et marcha lentement au milieu des rares touffes d’herbes de la lande. Alors que je laissais mes pas me conduire, je réfléchissais. Si Kina n’était pas venue depuis un petit moment me rendre visite, c’était qu’elle était très occupée…Et je ne pouvais lui en vouloir. Me vint également à l’esprit les seules informations que j’avais sur la Terre des Lions : Pridelanders et Mositus cohabitaient au Baobab, et…les « lions du désert » dont Kina m’avait parlé lorsqu’elle m’avait expliqué les problèmes avec les Nyeusis ? Ils auraient, d’après ce que j’ai compris, chasser les Mositus… Donc, les Mositus… vivaient dans le désert, eux aussi ? Je devais avouer qu’ils m’intriguaient, tous ces lions de clans dont je ne savais encore…pas grand-chose. Tant de chose que j’ignore… Aurai-je l’âme d’un grand aventurier ? Décidément, mon voyage m’avait donné le goût de l’aventure…Enfin, je l’avais déjà un peu !

Alors que je cogitais, des bruits me parvinrent. Je regardai tout autour de moi : personne… Un autre bruit…qui sonnait comme les paroles de quelqu’un. Je m’approchai le plus silencieusement possible. Mais moi et la discrétion, ça fait…zéro. Rampant comme un serpent (ou pas), je vis, à travers les touffes d’herbes, une tâche orange. Kina ? J'étais content de la voir, mais en fait, je n’étais pas sûr que ce soit elle… On ne sait jamais, ça peut être dangereux de confondre les gens… Surtout sa propre sœur. Mais mes doutes disparurent lorsque je sentis, en effet, l’odeur de Kina : un doux parfum, que l’on aurait envie de sentir toute la journée. Je décidai de lui faire une petite blague… Je me déplaçai, afin d’être derrière elle. D’un seul coup, je sautai hors de ma « cachette », en criant :

- Kina !

J’espérais lui avoir flanqué la frousse ! Rire, c'était important, après tout.

[Eh eh ! Je crois que j'ai eu un élan d'inspiration ! xD J'espère que ça ira ! Donc je précise, Uku' à pas encore remarquer Djaili, puisqu'il s'est caché. ^^ Je sens que ce RP va être drôle !]

Merci beaucoup, Kina ! ♥

Je parle en #B83A1B.

- Ukubwa ? Qu'est-ce que... J'aurais pu t'attaquer ! lança Kina.

Visiblement, j’avais réussi mon coup ! Étais-je fier ? Un peu… ! J’aimais la taquiné, et jamais je ne me lasserai de ce « petit passe-temps ». Ma sœur avait l’air…surprise, rien qu’un peu… ? Je reconnaissais que parfois, je pouvais être exaspérant, mais jamais, au grand jamais je ne le dirai tout haut ! Outre mon entrée fracassante, j’étais content de revoir Kina après ces quelques temps sans visite. Après un petit rire, je lui répondis d’un air moqueur, me dressant bien droit pour paraître le plus grand possible :

- Ah oui, tu m’aurais attaqué hein ? Tu sais qui est le plus fort entre toi et moi ?

Avec un sourcil levé, en disant cela, ne suis-je pas classe, tout de même ? Je la cherchais peut-être un peu trop, mais j’espérais qu’elle savait que ce n’était pas du tout méchant, que je faisais exprès. En fait, j’étais toujours comme ça, à force, elle devait être habitué !

- Décidément, tu ne cesseras jamais de me surprendre ! Et d'ailleurs, où étais-tu passé pendant tout ce temps, hmmm ?

Et c’était à moi qu’elle posait la question ? Quoique, c’est vrai qu’elle avait bien le droit de se le demander, elle aussi… En fait, nous nous sommes tous les deux un peu éloigner, mais bon. Kina devait être occupé, et moi-même, j’ai…rien fait.

- Bah…En fait tantôt je me baladais, tantôt je dormais… Hmhm, mais bref, et toi alors ?

Et après, elle risquait de me traiter de flemmard ! Était-ce ma faute si… Non en fait je n’avais aucune excuse valable. Néanmoins, je m’étais quand même bien habituer à vivre un peu seul, même si parfois j’avais envie d’un peu de compagnie… Elle s’approcha finalement de moi, me faisant un bon gros câlin. Je savourais ce petit instant de tendresse. C’est alors qu’elle recula, et sa phrase me perturba énormément.

- Djaili, approche mon ange, j'ai quelqu'un à te présenter. Fini par dire Kina, après un certain temps d’hésitation.

En effet, j’avais déjà remarqué qu’à plusieurs reprises, elle semblait un peu distraite… Presque stressée, au cours de notre petite discussion. Mais je n’y avais pas vraiment porté une grande attention. Je regardais le tronc d’un arbre. Kina n’arrêtait pas de tourner la tête entre cet arbre et moi-même. Pourquoi ? Qui était ce « Djaili » ? C’est alors qu’une tâche claire apparue.

- Ce n'était pas très prudent de bondir ainsi. Maman aurait pu te sauter à la gorge pour me protéger, et tu te serais bêtement blessé.

Pas prudent ? Me sauter à la gorge pour le protéger ? Bêtement blessé ? Ses paroles revenaient en boucle dans ma tête. J’étais…choqué ? Je ne sais pas si c’était le bon mot. Surprit peut-être…Mais alors très surpris. C’était un lionceau, aux yeux bien étranges, d’un vert de menthe vif. Ses couleurs étaient plutôt tape-à-l’œil dans la savane… Et « maman » ? L’avait-il bien appelé ainsi ? Kina ne m’avait rien dit ?! Et, il ne lui ressemblait même pas ! Kina parut gênée. Elle allait devoir m’expliquer. Pourquoi ne pas m’en avoir parlé ? Je savais maintenant pourquoi elle n’était pas venue me voir… J’ouvris ma gueule pour répondre, pourtant aucun son ne sortit. Je glissai mon regard du petit, à Kina.

- Je suis Djaili, le fils de Kina. Ajouta-t-il. Et toi ? Qui es-tu ?

Je ravalai ma salive, produisant un « Gloups » bruyant. Que pouvais-je lui répondre ? Je gardais la tête tournée vers le jeune, mais mes yeux s’orientaient vers Kina. Je m’abaissai à sa hauteur.

- Je, je… balbutiai-je. Je suis Ukubwa… Le frère de Kina.

Je regardai de nouveau Djaili.

[J'adore la réponse de Djaili ! xD Désolée pour le temps que j'ai mis ! ^^"]

Merci beaucoup, Kina ! ♥

Je parle en #B83A1B.

- Ukubwa, je te présente Djaili. Djaili, je te présente ton oncle, qui est aussi celui sans qui nous ne serions pas là aujourd'hui. Je pense que tu sais maintenant ce à quoi j'étais occupée ces derniers temps... Lorsque je suis venue voir après toi je ne te trouvais pas, et je ne pouvais laisser Djaili seul trop longtemps. Je suis désolée de ne pas être venue te trouver plus tôt, j'aurais dû mieux chercher...

Je ne bougeai pas. J’étais trop choqué pour cela. C’était donc vrai, bien réel ? Aucun doute possible... Je savais bien à quoi elle faisait référence lorsqu’elle avait dit « sans qui nous ne serions pas là aujourd’hui », et automatiquement, des images de l’enfance me revinrent. Kina, l’énorme lion, moi, ma mère… Si mon deuil était fait depuis bien longtemps maintenant, une petite boule se forma dans ma gorge -mon côté sensible, caché derrière mon image de gros dur, que voulez-vous…-, mais je ne laissai rien paraître. Le temps avait beau passer, la présence, l’odeur familière de Nadra me manquait, au moins un peu. Je secouai légèrement la tête, comme pour remettre mes idées en place. Pourquoi y repenser ? J’avais réussi à « positiver », autant continuer dans cette voix. Je m’écartai finalement du lionceau, m’asseyant, comme l’avait fait Kina, juste en face.

- Non c’est…C’est moi qui aurai dû être plus présent. Répondis-je.

J’avais énormément de mal à me faire à la présence de Djaili, aussi je ne savais trop quoi dire à ce propos. Et pourtant, mes questions, voir même mes reproches, ne manquaient pas dans ma tête. Par exemple, qui était son père ? Était-ce un lion bien, qui prenait bien soin de Kina ? Il avait plutôt intérêt…

- Je ne veux pas que tu…

J’étais… très surpris, presque plus qu’avant en fait, je crois. J’observai mon neveu, sa tête collée dans le ventre roux clair de ma sœur. Mon visage se figea : était-ce de ma faute s’il pleurait ? D’ailleurs, pourquoi était-il si triste ? Kina allait en avoir, des choses à me dire… Si quelque chose me faisait de la peine, c’était bien de voir un enfant pleurer, surtout si c’était de ma faute. Devrai-je tenté quelque chose, alors que j’étais peut-être la cause de ses sanglots ? J’hésitais… Après tout, Kina était sa mère, c’était la mieux placée pour le consoler… Moi, je risquai d’aggraver les choses. Je plantai alors mon regard dans celui de Kina, nerveux, demandant son aide pour réparer les choses. Pour voir Kina correctement, il me fallait tourner un peu plus la tête, afin que mon seul œil intact soit bien orienté vers ce que je veux observer. Maintenant, je le faisais presque automatiquement, sans même m’en rendre compte.

[Enfin, j'ai répondu ! Je ne pensais pas répondre ce soir o/ Désolée si c'est un peu court, j'avais pas grand chose à mettre... ^^" Hihi, le truc totalement hors-sujet à la fin xD J'me suis rendue compte que j'avais pas encore trop appuyé sur son..."léger handicap".]

Merci beaucoup, Kina ! ♥

Je parle en #B83A1B.

Kina essayait de me réconforter un peu, apparemment, de faire en sorte que je ne me sentes pas coupable. Je commençais à douter que ma réaction soit la plus appropriée… Mais il me fallait des réponses, j’avais du mal à comprendre pourquoi elle ne m’avait pas dit qu’elle avait un compagnon, qu’elle avait un fils… D’ailleurs, très étrange, Djaili ne… ne ressemblait pas beaucoup à Kina, en fait… Mais n’était-ce pas un peu égoïste, de vouloir tout savoir sur sa sœur, absolument tout ? Kina devait tout de même avoir son intimité, c’est vrai, sa vie privée ne regardait qu’elle…

- Non, tu n'as rien à te reproch…

Alors qu’elle parlait, Djaili la coupa, poussant un petit gémissement. Pleurait-il ? Était-il sur le point d’éclater ? Lorsque je vis Kina baisser aussitôt la tête vers son fils, j’eu un léger sourire. Kina était une bonne mère, une très bonne mère, et j’étais quand même très fier d’elle. Ça se voyait, Djaili était tout pour elle, et je n’étais pas trop jaloux de l’attention qu’elle lui portait, après tout, je restais son frère. J’espérais seulement que notre lien ne brisera pas, avec le temps…

- Je ne veux pas que tu…

Sans même finir sa phrase, Djaili ne tint plus, et fondit en larme, sa tête pelucheuse contre le ventre de Kina. Je me figeai automatiquement. Tandis que je l’observais, pensant réellement être la cause de ses larmes, Kina semblait elle-aussi perdue. Sûrement ne comprenait-elle pas, tout comme moi, la raison d’une telle tristesse chez son fils. Avec un fort instinct maternel que j’admirais beaucoup chez ma sœur, elle serra Djaili contre elle. Mais elle était inquiète, je le voyais à ses oreilles rabattues. C’était évident, elle voulait le meilleur pour son enfant.

- S'il te plait Djaili... Calme-toi trésor. Pourquoi te mettre dans cet état ?

Elle savait trouver les mots justes. Mais cela suffirait-il pour que Djaili se calme ? Apparemment, oui, car les sanglots du lionceau se calmèrent, bien qu’il faisait quelques hoquets en respirant rapidement. Kina reprit alors :

- Ukubwa est mon frère, et nous avons vécu beaucoup de choses ensemble. Il est très important pour moi, et je vous aime tous les deux énormément... Mais pour rien au monde je ne te quitterais. Tu es mon fils, et ce que j'ai de plus cher au monde. Je t'aime et rien ni personne ne pourra jamais changer ça, tu m'entends? Je serai toujours là pour toi, quoi qu'il arrive, et je t'interdis d'en douter. Ne l'oublie jamais...

Là, j’étais très franchement admiratif de ma sœur, qui venait de faire un petit discours très émouvant et expliquant parfaitement les choses. Moi, j’étais du genre fonceur, même si j’étais très sympathique, la délicatesse moi… Bof bof.

- Alors... Tu ne vas pas me laisser...? Même si je t'empêche de voir ton frère...? demanda Djaili d’une petite voix un peu… aigue.

Il n’avait pas besoin de réponse pour comprendre qu’il comptait pour sa mère tout autant que moi.

- Je suis désolée, Ukubwa... C'est juste qu'il n’a pas l'habitude de me voir aussi proche de quelqu'un d'autre et... ajouta ensuite Kina à mon attention.

Elle ne finit pas sa phrase, peut-être parce que cette fois-ci, elle ne trouvait pas les bons mots. Je m’empressai de lui dire, d’une voix qui se voulait des plus douces :

- Ne t’excuse pas.

Simple phrase, très courte, mais c’était la seule chose que j’avais à répondre. Elle ne devait pas s’excuser, Djaili était jeune, et tous les deux, nous avons été… un peu choqués par notre première rencontre. Nous tenons tous les deux à Kina, ça devait être pour ça. Mais mon cœur se serra lorsque Djaili se tourna vers moi, et je fus très surpris pas ses paroles, presque digne d’un lion adulte très sage. Enfin, sage, intelligent, tout cela, je n’en doute pas.

- Je suis désolé. J'ai cru que tu allais me prendre ma maman. Je te suis reconnaissant de lui avoir sauvé la vie, et je suis aussi content que maman ait quelqu'un sur qui elle peut compter et qui puisse la protéger le temps que je sois aussi grand que toi.

Tout s’arrangeait. Enfin presque, puisque Kina me devait encore quelques petites explications… Je lui fis un large sourire, tout en lâchant un petit rire. Autant ne pas gâcher un bon moment.

- Je suis sûr que tu y arriveras, à faire ma taille, un jour. Soufflais-je, toujours souriant.

J’étais ravi, soulagé, que ça aille mieux. Il était plein de bonnes volontés, ce petit. D’accord, il était très possessif envers Kina, mais on ne peut le lui reprocher, s’il y a de la jalousie, il y a forcément de l’amour derrière… Il était très attachant, je devais le reconnaître. Pour une fois, je sortis une phrase intelligente.

- Tu sais, la force et le courage ne se mesure pas à la taille. Lui dis-je, m’abaissant à sa hauteur. Reconnaître ses torts, c’est une grande preuve de bravoure, crois-moi.

J’avais l’impression d’avoir vieillit, que mon âme d’enfant qui m’habitait d’ordinaire…tout le temps, m’avait quitté le temps que je dise cela. Mais après tout, si ça pouvait l’aider, moralement… Soudain, Kina interpella son fils. Celui-ci n’eut pas besoin de beaucoup de temps ou plus d’explications pour comprendre le message.

- Tu veux que je m'écarte un moment c'est ça ?

Il rabattit ses oreilles touffues sur son crâne, mais pourtant accepta de laisser sa mère avec moi quelques minutes.

- Ne lui en veut pas. Et ne lui fait pas de mal. Me lança Djaili, d’un ton plutôt autoritaire. Après un instant de silence, il ajouta : S'il te plait.

J’hochai la tête, et observa Djaili s’éloigner lentement jusqu’à l’arbre, auprès duquel il se roula en boule. Je tournai mon regard vers Kina, muet, laissant toutefois apparaître un certain calme, une certaine joie se dessiner sur mon visage. Au bout de quelques secondes de silence, je dis doucement :

- Je suis heureux pour toi, Kina.

J’étais sincère, j’étais réellement content pour elle. Puis je mis en application ce que j’avais dit à Djaili sur la force et le courage, sur la véritable bravoure.

- Je suis désolé, je n’aurais pas dû réagir comme ça, j’étais juste surpris, c’est tout. Murmurai-je.

[Après tant de temps, voilà enfin ma réponse ! ^^" Désolée encore du temps que ça à pris, il y a plusieurs raisons, la première c'est que j'étais un peu débordée, la seconde c'est que j'arrivais pas à trouver quoi écrire, et la troisième, que j'avais un petit besoin de faire une petite..."pause", histoire que l'inspiration revienne et que je puisse aussi me concentrer sur autre chose ^^ Bref, j'espère que ma réponse convient ! J'ai fais ressortir le côté intelligent d'Uku' x)]

Merci beaucoup, Kina ! ♥

Je parle en #B83A1B.