Aujourd’hui Kutishia avait décidé de se lever tôt pour continuer la lande des sans-terres, il se dirigeait donc vers les marécages qu’il n’avait toujours pas visité. En y allant il ne pensait plus rien sauf à sa dernière rencontre, Janga, ce nom faisait échos dans son cœur, elle avait bouleversé Kutishia, il lui avait dit qu’il la retrouverait comme si il s’était fait une promesse a lui-même. Puis il arriva dans les marécages, il y faisait une chaleur très forte, bien que l’air y soit frais, quelque chose cloché, Kutishia avait l’impression d‘entendre Janga , l’impression d’entendre un appelle au secoure, mais Kutishia ne s’en préoccupais pas car il pensait que son esprit lui jouer des tours, mais en se rapprochant la voix s’amplifiait, mais une fois arriver proche de la source de l’appelle, la voix faiblissait, alors Kutishia se précipita et découvrit le corps de Janga pris dans un marécage, il toucha sa cicatrice et se rappela sa promesse, il l’avait retrouver, et même si elle ne l’aimais pas il allais la sauver car il l’a porté en son cœur. Kutishia s’aventura donc dans le marécage ne pensant pas aux conséquences, il passa sa tête en dessous du corps de Janga pour être capable de la porter, et la ramena en dehors, Janga semblais inconsciente, il s’approcha de son corps, et lui lécha le museau pour la réveiller :

« Aller Princesse c’est pas le moment de dormir ! »

Kutishia s’assit en face de Janga en attendant qu’elle reprenne conscience, Kutishia ne savait pas si le fait qu’il vienne la sauver changera quelque choses, mais son cœur l’avait obligé à la sauver… Peu importe ce qui suivrais…

Kutishia n’écoutant que son cœur avait sauvé Janga, il avait fait face au danger mais pas pour sa propre cause, ce qui était très inhabituelle pour lui. Il était assis en face d’elle, attendant qu’elle reprenne conscience, quand elle ouvrit les yeux Kutishia poussa un grand soupir de soulagement. Elle se leva et regarda Kutishia d’un aire d’incompréhension, elle remercia Kutishia, même si elle n’avait pas l’air ravis d’être sauver par lui. Kutishia regarda ses pattes les griffes de Janga sortais et rentrais en permanences, puis elle lui jeta :

« Que fais-tu ici monstre gris ? »

Kutishia avait vu juste même si il l’a sauvé son jugement ne changerais pas son jugement, le mot monstre l’avait blessé, car sa lui rappeler cette nuit avec son père… Une larme perla sur son pelage, il regarda Janga, avec un air attendris, même si elle lui était inaccessible, il serait la pour elle. Il s’approcha de Janga et lui dit la voix hésitante :

« Je sais que tu ne veux pas de moi même si je t’ai sauvé, mais… J’ai peur que… tu occupes mon esprit, j’y suis pour rien »

Il susurra a Janga :

« J’ai besoin de toi-même si tu n’a pas besoin de moi, fait ce que tu veux de moi tant que l’on reste tous les deux, tu es ma raison de vivre, et je sais ce qu’il va se passer, tu peux me frapper autant que tu veux, l’écho de mon cour qui prononce ton nom restera en moi, fait ce que tu veux de moi… »

Kutishia recula, et s’allongea devant Janga :

« Fait ce que tu veux je suis vivant que pour toi, jusqu’au dernier souffle bien que ce ne sera jamais réciproque… Appelle ça comme tu veux de la folie ou de l’amour, moi –même je n’arrive pas à faire la différence. »

Janga était en colère le discours de Kutishia n’avait rien changé, elle se jeta sur Kutishia le blésant, et lui déchiquetant son oreille droite, Kutishia tremper dans son propre sang, regardant Janga toujours avec son air de défie, il se releva, il n’avait pas mal, l’amour reste plus fort que la douleur, il regarda Janga dans les yeux et se mit juste devant elle, il se touchait presque, il la regarda, puis souris :

« Alors, c’est moi le monstre ? Tu me marque avec te griffes, alors que je viens de te sauver et tu n’éprouve aucune émotion, quand je pense que j’aurais pu nous lier tout a l’heure, mais je te respecte trop pour ça… non je ne te respecte pas je t’aime et peu importe le nombre de coup que je prendrais, ça ne changera jamais, alors… Tue moi et tout s’arrêterai pour moi et pour toi, tu est forte pour le faire tu le ferra pour tes ados, et le lion qui a la chance d’être avec toi »

Kutishia souhaitais sa propre mort, car il aimait Janga mais, elle ne partageait pas ce sentiment avec lui, il ne pouvait pas vivre sans elle, alors, pour s’en sortir il lui rester la mort, mais la seul qui avait le droit de lui donner cette chance c’est Janga. Kutishia attendis :

« ALORS, POURQUOI TU NE ME TUE PAS !!!! »

Kutishia donna un cou de tête a Janga pour la provoquer.

« LIBÈRE TOI ET MOI D’UN COUP DE PATTE »

Kutishia présenta son cou a Janga attendant sa mort tant attendue.

Kutishia toujours au sol le cou présenté à Janga, les yeux fermer attendant la libération, mais, Kutishia rouvris les yeux, Janga l’aida à se relever, les yeux dans les yeux Janga expliqua a Kutishia qu’elle ne le tuerait pas, que juste son cœur était déjà pris, et qu’il souffrait, ce pourquoi elle n’accepter pas Kutishia, cette fois, sa voix était douce et amical, sa voix était la plus belle des mélodie que Kutishia avait entendus, ils se regardaient dans les yeux, Kutishia était paralyser et ne savait pas quoi faire… Janga, guidait Kutishia jusqu’à une petite flaque d’eau, pour qu’il nettoie ses blessures. Arrivais devant la flaque d’eau, Kutishia regarda son reflet, il avait bien changé, puis il regarda Janga

« Tu sais cette eau tu pourrais l’utiliser pour boire, il fait chaud, et tu en aurais plus besoin que moi, puis, tu devrais te dépêcher tu as une famille qui t’attends, laisse-moi ici je m’en sortirais, tu as dit que tu aimer quelqu’un alors fonce le retrouver, j’essaierais de me tenir à l’écart de ta famille… »

Kutishia ne tenais plus debout alors il s’allongea regardant Janga, c’était une vie pour plusieurs, elle avait refusé de tué Kutishia bien qu’il pouvait représenter une menace et, elle avait été amical avec lui, il la regardais silencieusement attendant sa réponse, et surtout pour pouvoir au moins encore une fois entendre le son de sa voix.

Kutishia demeurer au sol, gisant dans son propre sang, il ne savait pas quoi faire, il avait demandé a Janga d’utiliser l’eau, que c’était plus judicieux qu’elle vive, pour ces enfants. Mais elle n’avait pas l’air d’être du même avis, elle observa son reflet, puis elle regarda Kutishia droit dans les yeux, elle allait lui tenir tête, elle lui dit qu’elle n’avait pas besoin de cette eau, elle mentait, ils en avait besoin tous les deux, elle dit surtout que le lion qu’elle aimait, a disparu, qu’elle ne l’avait pas revu depuis un moment, et que ces petits ne rentreraient pas avant ce soir, elle refusait de voir Kutishia mourir, on le sentait dans sa voix ferme, Kutishia voulu protester, mais il se mit à pleuvoir, Kutishia se leva tant bien que mal, la pluie nettoyer ses blessures, bien qu’il aurait préféré ne pas les nettoyer, quelqu’un, voulais qu’il vive. Une fois debout les pattes tremblantes, il s’avança, il était à la hauteur de Janga.

« Je ne comprends pas, je représente un monstre, un danger pour toi et ta famille, et tu fais tout pour m’aider maintenant. Tu dis que le lion que tu aimes a disparu, c’est pour ça que tu ne veux pas de moi ? Tu as de la chance d’avoir des petits pour t’entourer, et vivre sans père, ce n’est pas impossible. Je ne sais quoi te dire… appart… Tu le sais très bien je n’ai pas à le répéter, ça me fais aussi mal à toi qu’à moi… »

L’eau coulais sur le pelage de Kutishia, mais Janga arriva t’elle a voir la différence entre les gouttes de pluie et les larmes du lion ? Kutishia se sentais vivant à côté de Janga. Il attendait en face Janga sa réponse aussi forte pouvait-elle être, Kutishia exprimais ses sentiment, Janga pourrais prendre ça comme une provocation, dans les deux cas Kutishia, avait ce qu’il voulait.

Kutishia était toujours devant la flaque, Janga nettoyer les blessures du lion gris, Kutishia sentait la patte de Janga sur ses blessure bien que ça piquer un peu, la sensation de douceur de la patte de Janga n’avait pas de prix, ce moment n’avait pas de prix. La femelle était douce avec lui, bien qu’il y ait un silence entre les deux personnages, les regards suffisait, il n’y avait pas besoin de mots, elle le regardait avec une sorte d’admiration, mais, pour Kutishia c’était un rêve de voir ce sentiment dans les yeux de Janga, elle souriait légèrement, un moment elle utilisait sa belle voix qui paraissait sans émotion pour lui dire que Kutishia ressemblais beaucoup à son ancien compagnon, sa phrase avait fait tilt dans la tête de Kutishia, c’était peut-être aussi pour ça qu’elle ne voulait pas entendre ce que disait le cœur de Kutishia, elle finis donc de nettoyer les plais de Kutishia et elle nettoya sa patte, Kutishia se leva et se plaça face à Janga et lui demanda les yeux dans les yeux d’une voix non assurée :

« Tu ne m’aime pas, parce que je lui ressemble, ou juste que tu m’en veux, pour tes ados, j’aimerais savoir, j’ai jamais eu quelqu’un à qui je tenais, j’aimerais donc savoir si, le fait que tu ne m’aime pas viens de moi ou de ta mémoire… Encore désolé si je te rappelle ton compagnon, ça doit te faire mal… »

Au fonds de lui Kutishia voulais vraiment savoir, il ne sait pas ce qu’est l’amour ou même l’amitié, alors cette machine a tuer devait être apprivoisé…

Ils étaient la plantés tous les deux, se regardant dans les yeux, quand une larme échappas d’un œil de Janga pour couler sur son beau pelage. Kutishia n’aurait peut-être pas du poser cette question, si ça fessait mal Janga, il aurait dû ne rien dire, elle soupira, puis détourna son magnifique regards vers l’horizon, elle était la assise et Kutishia la regardais tendrement, elle lui dit que si elle haïssait ce n’est pas parce que il ressemblait à son ancien compagnon, mais parce que il avait fait naitre un sentiment dans le cœur de Janga. Elle se mit à trembler alors Kutishia se mit face Janga et la regarda droit dans les yeux, il s’approcha et une fois que leur museau se touchaient il dit

« Janga, tu vis dans le passé, sèche donc tes larmes et je t’emporte avec moi dans le présent. »

Kutishia frotta sa tête contre la joue de Janga, puis il se colla a elle pour la réchauffer.

« Janga, te sent tu prêtes à m’accepter, comme je suis, comme tu vois, je deviendrais si tu le souhaite le père de tes enfants et, je vous protègerais plus que tout… »

La voix de Kutishia baissa vers la fin de sa phrase, ils étaient là tous les deux côte à côte regardant l’horizon…

« Janga, j..j.. je voudrais rester tout ma vie avec toi… »

Kutishia avait peur, pour une fois dans sa vie, il allait peut être regretté ses paroles, car jusqu’à présent, Janga n’avait pas voulus voir les sentiments de Kutishia, il eut un cours silence avant que sur le beau visage de la lionne se dessine un sourire, Kutishia ne compris pas ce que signifiait ce sourire, mais il n’allait pas tarder à le découvrir. Il sentit la langue de Janga sur sa joue, Kutishia fit les gros yeux, et elle s’approcha de son oreille et lui glissa de sa merveilleuse voix un « Je t’aime », Kutishia cru qu’il allait tomber, finalement leurs sentiment, sont devenus réciproque. Janga ronronnais a côté de Kutishia et sa queue s’enroula autour de celle du mâle gris, Janga enfouis son museau dans sa crinière, Kutishia se laissa faire, il était sienne, et il ferait tout pour elle, peu importe le prix de qu’il devait faire. Elle pleurait, mais vu son sourire, elle pleurait de joie.

« Tu sais Janga, même quand tu pleures tu restes belle, tu es la plus belle des lionne que j’ai plus croisé et tu es très forte, je rêve de ce moment depuis notre rencontre, car moi aussi je t’aime et t’aimerais pour toujours, Janga, comment allons-nous dire ça a tes enfants ? J’ai entièrement confiance en toi et je te suis. »

Kutishia était enfin avec celle qu’il aimait et il ne la quitterait pas, pour rien au monde, et il laissa Janga contre lui, il humait juste son doux parfum…